Cette année l’enchaînement des jours fériés du mois de mai me ramène aux séances de saute-mouton de mon enfance : la difficulté est dans le rythme.
Travailler et hop : rester en suspens le temps du weekend. Retomber sur ses pieds, se remettre (plus ou moins facilement ) à travailler à fond sachant que la semaine est amputée et hop... nouveau temps suspendu pour un jour férié.
L'équation est complexe : avoir la même charge de travail, moins de temps pour le faire, avoir envie de profiter pleinement de ces jours fériés, sachant qu'ils sont aussi chargés d'activités en plus, et réussir à ne pas se laisser déborder dans toutes nos sphères de vie.
Pour nos enfants aussi ce n'est pas simple : école pas école ? Ce n'est pas - ou plus - les vacances mais ça y ressemble beaucoup quand même... Et puis il fait jour tard, et beau ! De quoi ouvrir le champs de la contestation des habitudes, des horaires, de nos principes : tenir ou fléchir ?
En mai fait ce qu'il te plait ?
Tant mieux, tant pis !
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