Élever un enfant a quelque chose d'un tour du monde à la voile.
On a besoin d'un cap et de savoir à peu près la route que l'on souhaite prendre. A peu près seulement. Car si on bloque le gouvernail en espérant passer en force coûte que coûte contre vents et marées, on risque fort le naufrage.
Si on accepte de faire avec les contre courants et les vents contraires, on peut être surpris et les utiliser à notre avantage. On échappera pas à quelques avaries mais on peut faire de belles rencontres sur les escales forcées par les réparations inévitables.
Et puis ce tour du monde n'est pas le Vendée Globe. Nous ne sommes pas "en solitaire" ni "sans assistance". Ce n'est pas une course contre les autres non plus. C'est un voyage. L'essentiel est de rester à bord, d'aller au bout et de ne pas oublier d'admirer les couchers de soleil !
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